Monsieur Jean Claude ROEDIGER
|  Domiciliado en Pulnoy (54425)
Nacido en Nancy (54000) el jueves, 31 de julio de 1941
Fallecido en Pulnoy (54425) el martes, 20 de abril de 2010 a la edad de 68 años
Viudo de Madame Annie BAGARD
|
Espace « condoléances »
Este espacio de pésames se creó el jueves, 22 de abril de 2010.
3781 visites
In memoriam
Cet espace « condoléances » est dédié à la mémoire de Monsieur Jean Claude ROEDIGER. Chacun peut s’y recueillir, déposer une carte de visite ou un message de condoléances. Utilisez les liens ci-dessous pour consulter les marques de sympathie ou intervenir vous-même.
N’hésitez pas à renseigner cette page à vos connaissances. Ceux qui sont loin ou qui n’ont pas la possibilité de se joindre à la cérémonie trouveront ici une façon simple de montrer leurs sentiments à la famille dans ce moment difficile.
Merci d’avance.
6 mensajes (3 no publicados)
Pésames
Sincères condoléances à toute la famille.
Un ancien du CERP
Georges LANTUEJOUL- 22/04/2010
Testimonio
Le capitaine Jean-Claude Roediger fut mon chef de brigade à l'école d'application du TRAIN à Tours en 1978-79, à ma sortie de l'école militaire Interarmes.
Officier chaleureux, joueur, dynamique, soucieux de ses officiers-élèves, sportif, aimant la fête, le capitaine Roediger savait oser une pédagogie dynamique et responsabilisante, au risque du jugement de sa hiérarchie d'alors.
Officier épanouissant, il nous faisait travailler dans la joie. Il savait intégrer les officiers stagiaires africains et lybien à la formation qu'il dispensait avec humour.
Durant les quatre années qui ont suivi son enseignement, il a facilité mes missions de formateur et de transporteur de bombes dans de bonnes conditions. De nouveau, merci.
Jacques DORNIER- 04/09/2010
Testimonio
Le capitaine Roediger fut mon chef de brigade à l'Ecole d'Application du Train de Tours en 1978-79 (à ma sortie de St-Cyr). Je garde de lui le souvenir d'un excellent meneur d'hommes, pédagogue pas forcément selon les "règlements en vigueur" de l'époque mais efficace et très convaicant. Deux ans après, j'étais au Liban et ce qu'il m'avait transmis m'aida dans ces circonstances fort incertaines : Il était avant tout un officier avec un fort charisme et certainement pas là pour être carriériste. Paix à son âme et chapeau l'artiste !
Didier Gros- 02/09/2010