| Monsieur Roger MONTAG La vie ne t'a pas épargné, jeune orphelin, mes parents t'ont accueilli avec ton frère.
La fermeture de la mine à Moutiers en Lorraine t'a éloigné de moi, de nous pour t'implanter à Carcassonne, tu y as construit ta vie.
Ton fils a créé une belle famille, 4 petits enfants, tu en étais tellement content et fier.
Un grain de sable, tout bascule !
La maladie de ta femme que tu as su gérer mieux qu'un soignant et son décès
La mort accidentelle de Théo, tu as hurlé, ton pauvre cœur a subi un dur choc, tes beaux yeux reflétaient toute ta tristesse. A cela c'est ajouté le départ de tes petits enfants pour le Maine et Loire,
A la fin de ta vie, tu te retrouves à nouveau seul.
Mon frère, si tu savais comme tu me manques ! Je ne compte plus le nombre de tes appels sans pouvoir me dire un mot, en ne me laissant même pas l'occasion de pouvoir te dire combien je t'aime.
En juillet, tu as profité de ton repas préféré, j'ai pu te serrer dans mes bras, t'embrasser tendrement une voix me disait que ce serait la dernière fois.
Adieu mon frère chéri, je te souhaite une meilleure vie dans l'au-delà.
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