| Monsieur Julien GAND " PENSEE pour sa famille " *
Les secondes, les minutes, les heures, les mois, puis les années passent, deux ans que tu nous as quittés, tu me manques tellement, je ne m'y fais toujours pas, et je ne m'y ferais sans doute jamais, perdre la vie à 22 ans c'est tellement injuste! Chaque matin à mon réveil et chaque soir à mon coucher mes pensées vont vers toi, ma vision de la vie à changée depuis ta disparition, j'ai cette douleur en moi et ton visage sur cette photo qui me rappel que c'est bel et bien la réalité, tu n'es plus là.... J'aurai voulu te dire à quel point tu comptais pour moi, profiter de toi de ton vivant, prendre de tes nouvelles plus régulièrement, venir te voir chez toi comme tu me l’avais proposé, mais hélas je n'ai rien fait de tout ça, à notre âge on se croit invincible, immortel et on ne profite pas assez des personnes qui nous entourent... Tu vis à travers mes souvenirs, je puise au plus profond d’eux, j'entends ton rire et ces expressions bien à toi, je vois ton sourire, tes yeux, si beaux, j'oublis rien et j'espère ne jamais oublier c'est tout ce qu'il me reste de toi, ces souvenirs, je vis avec, pour toi, pour moi, pour trouver la force d'avancer .... Je viens te "voir" dès que je peux et dès que j'en ai la force, j'essaye de ne pas trop pleurer parce-que je sais que tu me dirais "Pleure pas ma couille». Tu es toujours là, et quelquefois tu viens me voir dans mes rêves… ce même rêve que je fais depuis ton décès, tu me prends dans tes bras et tu me dis de sécher mes larmes, que tu es bien là haut… J’espère de tout cœur que c’est le cas, en tout cas je veux y croire… Tu me manques… Repose en paix mon ami. Je t’aime.
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