| Madame Françoise LÉVÊQUE geboren LEYNAUD Ma petite mamie, tu étais une si belle personne, je regrette tant ta disparition si soudaine. Tu n’as jamais cessé de tenir une immense place dans mon cœur, et ce sera toujours le cas, jusqu’à la fin de mes jours. Mamie, je n’oublierai jamais ton visage, ni ta voix. Tu étais passionnée par les voyages, je me souviens quand toi et moi sommes allées en Irlande, en Autriche et en Italie. Nous avons passé des moments inoubliables : que des rires, des sourires, des blagues, des chants… Je me rappelle très bien du moment où nous avons toutes les deux aperçu pour la première fois, les lacs du Connemara. Que d’émotions ! C’était si beau ! Nous chantions le chant dédié à ce paysage jusqu’à en perdre la voix ! Nous étions heureuses et c’était le principal… Ce n’est qu’un souvenir parmi tant d’autres mais il fait parti des plus merveilleux. Tu m’aidais à travailler pour obtenir les meilleures notes possibles à l’école. Je râlais un peu, j’étais enfant, mais aujourd’hui, tes cours ont été plus qu’utiles, ils m’ont permis de trouver ma voie professionnelle et surtout : d’être la personne que je suis.
Mamie, j’ai tant de choses à te dire, mais le plus important est cette phrase que je te répétais sans cesse : Je t’aime. Je t’aime très très fort, tu as été une mamie géniale, qui prenait plaisir à me faire de bons petits plats, à plaisanter, à me raconter des histoires… Qu’aurais-je fait sans toi ? Tu vas terriblement me manquer, mais tu resteras à jamais dans mon cœur et dans mon esprit. Où que j’aille et quoique je fasse, tu seras toujours à mes côtés. J’espère que de là où tu es, tu as pu retrouver les tiens, que tu es apaisée et heureuse. Tu veilleras sur nous d’accord ? S’il te plaît mamie, attend nous, nous nous reverrons un jour ou l’autre. Je te serrerai très fort dans mes bras et je te couvrirai de bisous. Je t’aime mamie, à bientôt, je penserai très fort à toi, ma belle étoile.
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