| Monsieur Pascal GILORMINI Texte écrit par sa compagne Sandrine, et lu par son beau-frère Jean-Luc lors des obsèques.
Quelques mots sur Pascal et ce qui lui importait
Pascal avait un immense besoin de contacts humains, et avait tissé de nombreux liens autour de lui. Il aimait sortir pour rencontrer des gens, notamment au café FOX, refaire le monde ou échanger des blagues autour d’un café (avec un verre d’eau, toujours !) Il s’est impliqué tout au long de sa vie dans plusieurs associations qui lui tenaient à cœur, pour venir en aide aux autres ou défendre leurs droits.
Il aimait les livres, et était actif au sein de la bibliothèque de sa commune quand il en avait la possibilité. Il aimait découvrir et aider les nouveaux talents musicaux, et a modestement participé, via internet, au financement du premier album de quelques artistes, dont certains ne sont plus d’illustres inconnus aujourd’hui.
Son travail était une part importante de sa vie. De son ancien emploi, Pascal avait conservé des amis, notamment Florence, Hubert, et surtout Paul, qui a toujours été un soutien, et qui s’inquiétait de ne plus avoir de réponse à ses messages. Etant en déplacement, il n’a malheureusement pas pu se joindre à nous aujourd’hui, mais nous accompagne en pensée. A INGECAP ensuite, véritable renaissance pour lui, il a noué au fil des années des liens étroits au sein de l’entreprise, notamment avec Thomas, Catherine, Florent, Nathalie (pardon à ceux et celles dont j’ai oublié les prénoms), et des relations de sympathie auprès des secrétariats médicaux avec lesquels il a collaboré.
L’une des plus grandes fiertés de Pascal, même s’il avait un peu de mal à l’exprimer, reste la famille qu’il a créée. Cette famille, qu’on dit « re-composée », a toujours été et restera une famille. Une famille riche de compter 3 fils de 3 mamans différentes, une belle-fille, et avec le compagnon de celle-ci, le « petit dernier » à ce jour, la famille évolue et s’enrichit encore.
Il était important pour Pascal que ses enfants, de sang et de cœur, puissent l’accompagner aujourd’hui avec des fleurs de son jardin. Ce sont des fleurs de printemps, celles de la vie. Pascal nous quitte au printemps. Et la vie va continuer, avec son souvenir.
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