| Monsieur Dominique HENRIOT Dominique, je t'ai connu grâce à Jean-Luc le temps d'une virée au "Mexico" suivi d'une soupe à l'ognion dans la cuisine chez toi ou, plus exactement, au bistrot chez ta mère, si mes souvenirs sont bons... Et je ne t'ai jamais oublié. Ta gentillesse, ton enthousiasme, ton brin de folie qui collait parfaitement à cette époque d'insouciance de fin des années 60. Je suis passé l'an dernier à Abainville en espérant retrouver Jean-Luc et toi aussi par la même occasion... Jean-Luc était dans le sud et le bistrot paraissait à l'abandon. Je ne pouvais pas savoir que j'arrivais trop tard pour des retrouvailles et j'ai une grande tristesse de te savoir déjà parti.
|